Musique…

Comme je l'ai écrit sur un blog : je suis malade, je souffre de l'anhédonie !

C'est à dire qu'aucune musique ne me fait bouger un orteil. Mon corps n'éprouve nul besoin de se contorsionner à l'écoute d'un rock'n roll — même endiablé !

 Je ne suis pas fan de Rap… c'est vrai !

J'ai trouvé par pur hasard sur Youtube, un groupe Reggae qui chante « La Menace »… 

 

Si vous êtes « Facho » ou votez pour le parti qui les rassemble, ou pour le type dont le nom commence par « Z » (non, pas Zoro ! ) n'écoutez pas sinon vos oreilles vont pleurer !

 

Si vous ne faites pas partie de ceux-là, écoutez ! (https://www.youtube.com/watch?v=AumVH4RPdLQ)

Je vous ai copié (avec les fautes !) les paroles ICI

 

Par les temps électoraux passés, présents et à venir, j'adore ce texte !

Un jour de grève à France Inter, j'ai entendu une chanson inconnue …

dont le titre est « je ne t'ai jamais aimé » ! Tout un programme !

 

En voici les paroles

(je regrette de n'avoir pas su écrire un truc pareil à au moins une personne !) :

 

Je ne t'ai jamais aimé(e)

Pas même une seconde

Même pour tout l'or du monde

Jamais je ne t'aimerai

Je ne t'ai jamais aimé(e)

Pas même une saison

Et je maudis l'été

Où tu m'as dit ton nom

D'ailleurs de ce nom là

Je ne m'en souviens pas

M'en souvenir me tue

M'en souvenir me tue

D'ailleurs de ce nom là

Oui j'ai tout oublié

Et le son de ta voix

Et l'odeur de l'été

Je ne t'ai jamais aimé(e)

Pas même une seconde

Même pour tout l'or du monde

Jamais je ne t'aimerai

Je ne t'ai jamais aimé(e)

Pas même une saison

Et je maudis l'été

Où tu m'as dit ton nom

Et s'il arriva

Que je fus fou/folle de toi

Ton souvenir n'est plus

Qu'un souvenir de plus

Que brûlent sans retour

Les slows de nos amours

Et les soleils noyés

Et qu'éclate l'été

 

Je ne t'ai jamais aimé(e)

Pas même une seconde

Même pour tout l'or du monde

Jamais je ne t'aimerai

 

Je ne t'ai jamais aimé(e)

Pas même une saison

Et les feux de l'été

Non rien n'y changeront

Et les feux de l'été

Non rien n'y changeront

 

L'auteur (David BABIN, album Drones personnels), devait vraiment sérieusement détester une personne, après une rupture sentimentale ou un divorce compliqué !